Ebl Lexington renforce son équipe propriété intellectuelle – arrivée de Christophe Glénat

Ebl Lexington confirme l’ambition et le développement de son activité en propriété intellectuelle en accueillant un nouveau senior au sein de son équipe. 

Christophe Glénat, 34 ans, rejoint en effet conjointement le cabinet et la profession d’avocat, ayant jusque-là exercé en tant que juriste au sein de grands groupes. Spécialiste du droit des marques et plus largement de la PI, Christophe a commencé sa carrière au sein de la Direction juridique du groupe BEL sur un périmètre combinant le droit des affaires et et la propriété intellectuelle, avec notamment, la gestion de portefeuilles de marques couvrant le monde entier.

Après plus de six années particulièrement formatrices et passionnantes, il découvre l’univers du luxe en rejoignant Chanel, en 2016, pour y appréhender le sujet éminemment stratégique de la lutte anti-contrefaçon et y développer des plans d’action spécifiques contre la récente tendance des copies parasitaires en Asie. Il y sera également en charge de la gestion de plusieurs portefeuilles de marques, toujours sur un périmètre international couvrant, notamment, l’Asie. 

Aujourd’hui, fort de ce parcours et de sa parfaite connaissance des rouages et besoins d’une direction juridique, il fait le choix de devenir avocat, convaincu notamment par la rencontre avec les équipes d’Ebl Lexington. 

Le département PI, animé par Laurent Levy et Michaël Piquet-Fraysse, est en effet particulièrement actif et reconnu. Ses avocats interviennent dans tous les domaines du droit de la propriété intellectuelle et mettent au service de leurs clients, grands groupes et entreprises des secteurs du luxe, de la mode, de l’entertainment ou des technologies, une offre stratégique globale dédiée à la protection, à la valorisation et à la défense de leurs actifs immatériels.

Laurent Levy commente : « l’arrivée de Christophe est un vrai atout pour notre offre en PI et plus singulièrement en droit des marques. Il nous apporte sa connaissance de terrain de l’entreprise en plus de son expertise aguerrie de 10 ans en matière de gestion de portefeuille et de lutte anti-contrefaçon. Nous mettons au cœur de notre approche l’ambition de toujours mieux servir nos clients au plus près de leurs attentes. Christophe va nous aider à remplir cet objectif chaque jour un peu mieux. »

Christophe Glénat ajoute « le choix d’Ebl Lexington s’est imposé comme une évidence pour cette nouvelle étape de ma carrière. La vision dynamique et moderne de leur métier, l’approche stratégique que les avocats du cabinet déploient en matière de PI pour sécuriser et défendre les droits de leurs clients m’ont convaincu. Je suis ravi d’apporter ma pierre à ce bel édifice et très heureux de découvrir, avec cette équipe de grande qualité, l’art de défendre un dossier contentieux et, bien sûr, de plaider! ».

L’équipe PI d’Ebl Lexington rassemble aujourd’hui 6 avocats dont 2 associés.

  • Eléments biographiques

Christophe Glénat est titulaire d’un Master 1 en Droit des affaires et d’un Master 2 Droit des contrats et des pratiques commerciales de l’Université Paris XII. Il est également diplômé du CEIPI – Centre d’Etudes Internationales de la Propriété Intellectuelle (Cycle accéléré Marques / Dessins & Modèles, D.U.)

Il a exercé au sein de la Direction juridique du groupe Bel (2010-2016) puis de celle de Chanel (2016-2020) avant de rejoindre Ebl Lexington. Il est avocat depuis septembre 2020. 

 

Découvrir son profil

Ebl Lexington est classé dans le Guide – Décideurs – Capital Investissement

Guide Décideur : Capital Investissement 

Le cabinet Ebl Lexington est classé dans les pratiques suivantes :

  • Capital investissement – Opérations LBO lower mid & small-cap 
  • Capital investissement – Opérations de capital risque

Ebl Lexington avocats conseille les associés de la société Lixoft dans le cadre de son acquisition par Simulation Plus Inc.

Ebl Lexington avocats conseille les associés de la société Lixoft dans le cadre de son acquisition par Simulation Plus Inc.

Ebl Lexington avocats conseille les associés de la société Lixoft dans le cadre de son acquisition par Simulation Plus Inc.

Ebl Lexington avocats a conseillé les associés de la société française Lixoft, spécialisée dans la conception de logiciels d’analyses et de modélisations appliqués au développement de traitements pharmaceutiques, dans le cadre de son acquisition par Simulation Plus Inc., société cotée au Nasdaq (SLP).

L’opération ayant été finalisée pendant la crise sanitaire, sa réalisation a intégralement eu lieu à distance. La transaction a ainsi été conclue virtuellement et la documentation contractuelle a été signée via une plateforme de signature électronique.

La société Lixoft, fondée en 2011 est issue du programme de recherche de l’INRIA. Lixoft est spécialisée dans la conception de logiciels de modélisation et simulation statistiques appliqués au développement de traitements pharmaceutiques. Leur produit offre des solutions, notamment pour analyser les résultats des analyses des essais cliniques et préclinique., permettant ainsi aux utilisateurs de réduire le coût et d’augmenter le taux de réussite du développement de nouveaux traitements.

Fondée en 1996 et basée en Californie, Simulation Plus Inc. figure parmi les plus importants fournisseurs mondiaux de logiciels de simulation et de modélisation appliquées à la recherche scientifique, et particulièrement à la recherche de l’industrie pharmaceutique.

Cette acquisition développe la force de frappe de la société Simulation Plus Inc. et devrait lui permettre d’offrir à ses clients des logiciels complémentaires aux offres existantes, amplifiant ainsi sa gamme de services et sa présence en Europe.

Ebl Lexington avocats conseillait les associés de la société Lixoft sur les aspects corporate de l’opération avec Arnaud Demont, Associé, Xavier Bourdet et Lucas Leroux. Le cabinet Monceau Tax & Legal, Mazyar Mortazavi, était quant-à-lui en charge des aspects fiscaux de la transaction.

Simulation Plus Inc. était accompagnée par une équipe pluridisciplinaire du cabinet EY Société d’Avocats menée par Virginie Lefebvre-Dutilleul, associée, et Louisa Igoudjil, Senior Manager, avec Nadia Hamdaoui et Annaëlle Derhy sur les aspects M&A, Éric Verron, associé, Thibaud Boucharlat, Senior Manager, et Ségolène Cotadze sur les aspects fiscaux ; Caroline Dirat, directeur associée, Jean-Christophe Courrège et Charlotte Debiemme sur les aspects de droit social. Pour finir, Vincent Robert et Brice Lepagnot sont intervenus sur les problématiques IP/IT et Data-Protection de la transaction.

Simultation Plus Inc était également accompagnée par le cabinet Procopio, Cory, Hargreaves & Savitch LLP sur les aspects de droit américain de l’opération

Ebl Lexington obtient la reconnaissance judiciaire de la renommée des marques du Groupe Bonpoint sans sondage d’opinion

Tribunal de Grande Instance de Nanterre – 19 décembre 2019

Ebl Lexington obtient la reconnaissance judiciaire de la renommée des marques du Groupe Bonpoint sans sondage d’opinion.

Depuis quelques années, le sondage d’opinion est progressivement devenu une pièce décisive dans le contentieux de la contrefaçon, notamment afin de prouver le caractère notoire ou renommée d’une marque. 

Ainsi, un nombre important de décisions rejette le caractère notoire ou renommée d’une marque, « faute pour le demandeur de rapporter la preuve objective, notamment par sondage, du degré de connaissance de la marque par le public concerné par les produits considérés ». 

Pourtant, il n’existe aucune obligation légale à verser au débat un tel sondage, souvent onéreux à réaliser pour la victime de la contrefaçon.

Le département Propriété intellectuelle du cabinet Ebl Lexington se félicite d’avoir obtenu le 19 décembre 2019 une décision du Tribunal de Grande Instance de Nanterre reconnaissant la renommée des marques verbales et figuratives du groupe Bonpoint malgré l’absence au dossier d’un sondage d’opinion.

Les magistrats ont considéré que les autres éléments de preuves apportées par le demandeur, tels que les investissements promotionnels ou l’exposition médiatique des marques, étaient suffisants pour établir la renommée de la marque alléguée de contrefaçon. 

Cette décision est désormais insusceptible d’appel.